dimanche 25 octobre 2015

Celebrity : Attention à votre coeur, Mr Faure !

Heureusement pour nous ce ne sera pas dans cette scène là qu'il mourra, car il est mort d'une pipe.
( Série l'appareil cardio-vasculaire : infarctus)





vendredi 23 octobre 2015

Text : HebdO d'une vIe d'un vIt solO

Samedi 17 : Levé avec une bandaison molle, je me ressens de la décharge d'hier. C'est au petit déjeuner que j'ai eu l'occasion de me réveillé. Je sentais qu'au dessus de moi s'accomplissait des actes sensuels. Le polo d'Emile  fut remonté jusqu'aux pectoraux pour les dénuder. Une bouche, après avoir donné un baisé, vint téter les mamelons. Le dos fut caressé  de bas en haut, les corps se pressaient l'un et l'autre. Je redressai l'échine. Un dernier baisé français fut rendu. Emile se rassit pour boire son bol de café.
L'après midi, profitant de la maison vide, Emile mit une vidéo d'un triolisme, prépara ses affaires de dessin et commença à me branler dans l'espoir de me dessiner en érection. Je n'eu pas le temps de me durcir suffisamment et déjà la porte d'entrée s'ouvrit.

Dimanche 18 : Blotti au chaud sous la couette, je suis réveillé palpé par les mains d'Emile. De l'état de mollesse je passe à celui de la bandaison. Puis Emile se serre contre un corps et d'autres mains plus petites prennent le relais du va et vient à la base de mon tronc. Elles montent ensuite à ma tête pour le même mouvement et finissent ensuite par me caresser à travers le boxer que je porte la nuit. Emile se lève.
Cet après-midi, nous avons réussi à réaliser le dessin, intitulé Dick bien veiné, sans que je crache le jus. Pour me bander, nous avons visionné une vidéo amateur de trois allemands, la femme était prise en broche par les deux hommes. je luisais de sécrétions et de salive. Je dégageai une odeur de pâton au levain qui flattait les narines. Nous partimes dans la salle de bain pour nous voir dans la glace. Emile entretenait ma bandaison tout en dessinant. Il a voulu me prendre en photo sur son portable pour servir de modèle au dessin mais le cadrage et la netteté n'étaient pas bons.
Ce soir, j'ai eu le droit à une heure de masturbation,  à rester droit sans interruption, m'entrainant à me contracter pour ne pas laisser échapper la sauce. J'étais redevenu la bonne grosse queue gonflée à bloc, résistant au allez retour de mains fermes et intraitables.

Lundi 19 : J'ai fait ma nuit dans un boxer déchiré, le tissu se détachait petit à petit de l'élastique des deux cotés. Au petit matin, devant la glace de la salle de bain, Emile s'amusa à enlever les deux pattes du caleçon ce qui eu pour résultat une sorte de pagne. A la vue de son reflet aux apparences d'un primitif, Emile s'en amusa et je commençais à m'affermir.
Une soirée passé dans l'excitation et les phantasme, à peine bandée le sperme coulait, je fus branlé avec ce premier jus. J'eu un temps de répit pour calmer mes ardeurs. C'est à la deuxième série de caresse que je lâchais  un sperme plus épais et pressé de sortir.

Mardi 20 : Ce fut une journée plus calme. Emile a continué ses pensées coquines pour  occuper les longs trajets le menant au travail mais il m'a laissé au repos.

Mercredi 21 : Cette nuit je me suis tendu, Emile se réveilla avec une impression de lourdeur dans le bas du ventre. Je m'agitais et effleurais les draps.
Tous les mercredis, Emile prend le train pour se rendre au boulot. Etant en période scolaire, le wagon était silencieux et Emile profita pour laisser ses pensées libidineuses vagabondées. De la gare d'arrivée à son lieu de travail, il y a une heure de marche et il continua ses rêveries. Il s'imaginait avec un couple d'amis baisant madame. Dans une première figure, les deux hommes se relayant occupaient un la bouche, l'autre la chatte. Puis vint l'idée de la prendre des deux cotés, de ressentir a travers les parois vaginal l'autre pénis et d'inventer un rythme à trois. Mais là ou Emile s'échappa de la réalité par les songes, c'est quant il me vit introduit dans le vagin rejoint par l'autre bite qui glissait le long de mon corps. La pensée d'être en fusion avec les deux sexes me mit en  érection et le frottement du tissu du pantalon d'Émile dans les mouvements de marches l'entretenait. A deux pas du but de sa journée, Emile reprit ses esprits et je me rendormi.

Jeudi 22 : Cette nuit, je devins bélier prêt à défoncer l'huis d'une forteresse.

Vendredi 23 : Aujourd'hui, j'étais en forme, je me cabrais facilement. Heureusement car Emile a prévu une séance  photos de moi entre les pattes du nounours de son enfance qui a le même âge que nous. Nous avons du faire plusieurs prises. Emile, n'étant pas habitué  à cet exercice et sur le coup de l'excitation, a réalisé beaucoup de clichés flous et mal cadrés. J'essayais de me tenir le plus droit possible appréciant les chatouillis de la peluche du nounours. Mes boules, pour être apparentes, avaient été remontée et placée entre les deux membres inférieurs du nounours. Sur les 20 photos Emile en a choisi une pour la reproduire à l'aquarelle et vous faire partager le résultat.

Surprise : Dick entre les pattes de nounours



vendredi 16 octobre 2015

Text : Journal d'une bite au repos (fin)

Quelle rigolade cette idée de repos et de journal !

Déjà cette nuit encore je me raidis. Emile, réveillé, me manipule un peu et se rendort. Levée et sous la douche, je reprends forme facilement, branlée par Emile ravie de ma fermeté car c'est aujourd'hui qu'il a décidé de me dessiner en érection. Au bout d'un quart d'heure, il m'essuie et m'habille.

L'heure venue pour poser en phallus triomphant, Emile nous aide avec une vidéo de gros plan d'une sodomie. Pendant la demie heure du film, je résiste et le gratifie sur mon gland de quelques perles de lubrifiant. Droite comme un i, je suis prête et Emile prépare ses crayons de couleurs. Mais il met une deuxième vidéo et continue à me frictionner. Je le surprend à ne plus tenir, il essaye de me contracter, je lui crache dessus de bonnes larmes de spermes. A quoi servent ses entrainements  des muscles pelviens et ses résolutions ?

Je met ainsi fin à mon journal d'une bite au repos, Emile est averti. Mais mon prépuce me dit qu'il y aura d'autres récits et peut être celui d'un autre jeun.

Site : Nouveau lien vers le blog "Chikchik" dans la catégorie "Vidéo", lien Toma

Une sélection de vidéos très variées pour tous les appétits hétéros ou pas.

News : Nouveau lien : "Paul Photographe amateur de nu masculin" dans la catégorie "Penis World"

Un témoignage intéressant sur  le travail délicat et sensible d'un photographe amateur.


Site : Un nouveau lien, "Exhibition" dans la catégorie Surprise

Un sexe masculin et autres parties du corps comme des paysages :



Storyboard : Scène du film "Heartthrob" de Henri Pachard - 1990

( Série l'appareil cardio-vasculaire : battements de cœur)



Que votre cœur s'emballe ici

jeudi 15 octobre 2015

Text : Journal d'une bite au repos (3ème jour)

En pleine nuit je suis réveillée par la pression qu'exerce une main sur mon corps au travers du boxer dans lequel je dors. Je gonfle en ressentant les frottements du tissu sur ma peau. Emile est réveillé. Ses doigts glissent sur le sous-vêtement et j'en frémis. J'aime le contact du coton, effleurée du prépuce aux couilles et je durcie. Emile enlève la capuche de ma tête et caresse de la même façon mon frein et la peau soyeuse de mon gland. Ce moment dure jusqu'à ce que le sommeil nous reprenne.
Ce matin, Emile se réveille fatigué, il a eu beaucoup d'insomnies et pas aussi douces que la première. le soir, sur le chemin du retour à son domicile, Emile repense à ce doux moment et je lui  fais plaisir en réagissant. 
A l'ordinateur il regarde rapidement quelques extraits d'un gang bang gay et je bande pour y participer. Mais le moment est furtif et Emile retourne à d'autres activités.
Peut être, avant le coucher, aurai-je le droit de danser entre ses jambes ? J'attends demain avec impatience car il me rendra raide pour servir de modèle à l'un de ses dessins.

mercredi 14 octobre 2015

Text : journal d'une bite au repos (2ème jour)

Je me  réveille la tête pointant vers le nombril, instant qui me rappelle ma jeunesse. En forme dans la salle de bain, j'effectue une série de contractions. Emile roule entre ses doigts ses tétons, je termine la gymnastique par une érection convenable. Sous la douche  je garde la forme entretenue par des mains savonneuses ; je suis séchée par un serviette que je trouve aujourd'hui particulièrement chaude et moelleuse. Ce deuxième jour commence avec douceur mais Emile ne semble pas particulièrement réveillé. Je passe le restant de la journée oubliée dans le fond du pantalon.

mardi 13 octobre 2015

Text : journal d'une bite au repos (de nouveau 1er jour)

Hier, je n'ai pas résisté aux sollicitations de la main et du sperme à coulé le long de mon flanc. Voyant l'échec de cette première journée d'abstinence, ayant perdu toutes illusions, Emile  remet le couvert au lit comme un forcené.

Le lendemain, il est plus calme. Moi je suis irritée, non seulement du faux pas de la veille, mais aussi sur le coté gauche rougi par les frottements intensifs.

Ce soir, j'ai le sentiment que j'ai vécu le premier jour d'une période de repos. Rechargée en sperme, je suis toujours plus sensible aux moindre stimuli. Emile aime aussi me sentir dans cet état, encore doit-il me donner l'occasion de reprendre des forces !

Ps : en supplément cliquer ici pour voir la vidéo qui l'a surexcité et accompagné sa masturbation.

lundi 12 octobre 2015

Text : Journal d'une bite au repos (1er jour)

5 h 30, ,pendant la préparation du café, j'ai le droit a quelques caresses de mes couilles, remontée par quatre doigts en râteau . Ensuite dans la salle de bain, je me voie dans le miroir détendue. Me sentant en forme, je fais soixante dix répétitions de contractions pelviennes, ce qui me met en état de semi-érection. Puis comme tous les matin, je suis massée à l'huile d'amande douce et passe ensuite sous la douche. Ma tenue d'aujourd'hui sera un boxer bleu nuit. Me voilà blottie au chaud à dormir pendant les 7 h de boulot.
Cependant, durant les trajets, Emile repense à la manière dont il va interrompre mon "jeun". Au minimum par une branlette de ses propres mains ou une amie. Toutes les variantes se présentent à lui, entre deux seins, entre deux globes fessiers, entre les pieds, les mollets, les cuisse, sous les aisselles, contre une chatte, contre une bitte, dans les interstices d'un couple en rut. Tous ses rêves me gonfle, et quant je gonfle c'est que je suis ravie.
Arrivé à la maison, Emile se sent excité, peut être par l'écriture de la page de ce journal ou la bd qu'il doit dessiner ce soir. Me voilà certainement partie pour quelques caresses avant de dormir. J'espère ne pas cracher dès le premier jour.

Comics : Grocalin & Zigounette, de cul à coeur

( Série l'appareil cardio-vasculaire : du cœur à l'anus)


Deux clous pour un cul en forme de cœur

dimanche 11 octobre 2015

Text : Journal d'une bite au repos (0)

Aujourd'hui, au réveil, j'ai déchargé, sans grande excitation, branlée par des mains amies. Les compteurs de mes couilles sont remis à zéro. Je vais en profiter pour commencer ce journal qui vous décrira, jours après jours, ma retape jusqu'à la prochaine éjaculation. Mon possesseur s'appelle Emile et nous avons tous les deux cinquante ans. 

lundi 5 octobre 2015

Illustration : "Les quatre ages du coeur" ou "le plaisir des Dieux", chanson paillarde

J'en compte cinq !
( Série l'appareil cardio-vasculaire : le vieillissement du coeur)






1. Du dieu Vulcain, quand l'épouse friponne
Va boxonner loin de son vieux sournois,
Le noir époux, que l'amour aiguillonne,
Tranquillement se polit le chinois.
Va-t'en, dit-il à sa fichue femelle,
Je me fous bien de ton con chassieux;
De mes cinq doigts, je fais une pucelle,
Masturbons-nous, c'est le plaisir des dieux.
}(bis)


2. Bah! Laissons-lui ce plaisir ridicule,
Chacun, d'ailleurs, s'amuse à sa façon:
Moi, je préfèr' la manière d'Hercule,
Jamais sa main ne lui servit de con.
Le plus sal' trou, la plus vieille fendasse,
Rien n'échappait à son vit glorieux,
Nous serons fiers de marcher sur ses traces
Baisons, baisons, c'est le plaisir des dieux.
}(bis)

3. Du dieu Bacchus quand, accablé d'ivresse,
Le vit mollit et sur le con s'endort,
Soixante neuf et le vit se redresse;
Soixante neuf ferait bander un mort,
O clitoris, ton parfum de fromage
Fait regimber nos engins glorieux
A ta vertu, nous rendons tous hommage:
Gamahuchons, c'est le plaisir des dieux.
}(bis)

4. Pour Jupiter, façon vraiment divine,
Le con lui pue, il aime le goudron;
D'un moule à merde, il fait un moule à pine
Et bat le beurre au milieu de l'étron,
Cette façon est cruellement bonne
Pour terminer un gueuleton joyeux:
Après l' dessert, on s'encule en couronne,
Enculons-nous, c'est le plaisir des dieux.
}(bis)

5. Quand à Pluton, le dieu à large panse,
Le moindre effort lui semble fatigant;
Aussi, veut-il, sans craindre la dépense,
Faire sucer son pénis arrogant,
Et nous, rêvant aux extases passées,
Tout languissants, réjouissons nos yeux
En laissant faire une amante empressée,
Laissons sucer, c'est le plaisir des dieux.
}(bis)

6. Au reste, amis, qu'on en fasse à sa tête,
Main, con, cul, bouche, au plaisir tout est bon,
Sur quelqu'autel qu'on célèbre la fête,
Toujours là-haut, on est sûr du pardon.
Foutre et jou-ir, voilà l'unique affaire,
Foutre et jou-ir: voilà quels sont nos voeux,
Foutons, amis, qu'importe la manière,
Foutons, foutons, c'est le plaisir des dieux.
}(bis)

 


samedi 3 octobre 2015

Illustration : "Le zizi", chanson de Pierre Perret

( Série l'appareil reproducteur : l'appareil génital masculin)




Afin de nous ôter nos complexes
Ô gué, ô gué
On nous donne des cours sur le sexe
Ô gué, ô gué
On apprend la vie secrète
Des angoissés d' la bébête
Ou de ceux qui trouvent dégourdi
De montrer leur bigoudi
Une institutrice très sympathique
Nous en explique toute la mécanique
Elle dit nous allons planter le décor
Ô gué, ô gué
De l'appareil masculin d'abord
Ô gué, ô gué
Elle s'approche du tableau noir
On va p'têt' enfin savoir
Quel est ce monstre sacré qui a donc tant de pouvoir
Et sans hésiter elle nous dessine
Le p'tit chose et les deux orphelines
Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi
Le vrai, le faux
Le laid, le beau
Le dur, le mou
Qui a un grand cou
Le gros touffu
Le p'tit joufflu
Le grand ridé
Le mont pelé
Tout tout tout tout
Je vous dirai tout sur le zizi


Des zizis y'en a d'toutes les couleurs
Ô gué, ô gué
Des boulangers jusqu'aux ramoneurs
Ô gué, ô gué
J'en ai vu des impusilfs
Qui grimpaient dans les calcifs
J'en ai vu de moins voraces
Tomber dans les godasses
Çui d'un mécanicien en détresse
Qui a jamais pu réunir ses pièces
Y'a le zizi tout propre du blanchisseur
Ô gué, ô gué
Celui qui amidonne la main de ma sœur
Ô gué, ô gué
J'ai vu le zizi d'un curé
Avec son p'tit chapeau violet
Qui juste en pleine ascension
Fait la génuflexion
Un lever de zizi au crépuscule
Et celui du pape qui fait des bulles

refrain

Le zizi musclé chez le routier
Ô gué, ô gué
Se reconnaît à son gros col roulé
Ô gué, ô gué
J'ai vu le zizi affolant
D'un trapéziste ambulant
Qui apprenait la barre fixe à ses petits-enfants
L'alpiniste et son beau pic à glace
Magnifique au-dessus des Grandes Jorasses
J'ai vu le grand zizi d'un p'tit bedeau
Ô gué, ô gué
Qui sonne l'angélus les mains dans le dos
Ô gué, ô gué
Celui d'un marin breton
Qui avait perdu ses pompons
Et celui d'un juif cossu
Qui mesurait le tissu
Celui d'un infirmier d'ambulance
Qui clignotait dans les cas d'urgence

refrain

J'ai vu le p'tit zizi des aristos
Ô gué, ô gué
Qui est toujours au bord de l'embargo
Ô gué, ô gué
J'ai roulé de la pâtisserie
Avec celui de mon mari
Avec celui d'un Chinois
J'ai même cassé des noix
Avec un zizi aux mœurs incertaines
J'ai même fait des ris de veau à l'ancienne

refrain