vendredi 30 septembre 2016

Disguise : en facteur, le dernier métier du petit puceau

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Le petit puceau" 8/8)

Il y a bien des gens qui ne demeurent pas d'accord de cette dernière circonstance, et qui prétendent que le petit Puceau n'a jamais fait ce vol à l'Ogre ; qu'à la vérité, il n'avait pas fait conscience de lui prendre ses bites de sept lieues, parce qu'il ne s'en servait que pour courir après les femmes. Ces gens-là assurent le savoir de bonne part, et même pour avoir bu et baisé dans la maison du Bûcheron. Ils assurent que lorsque le petit Puceau eut enfilé  les bites de l'Ogre, il s'en alla à la Cour, où il savait qu'on était fort en peine d'une Armée qui était à deux cents lieues de là, et du succès d'une partouze qu'on avait donnée. Il alla, disent-ils, trouver le Roi, et lui dit que s'il le souhaitait, il lui rapporterait des nouvelles de la partouze avant la fin du jour. Le Roi lui promit une grosse somme d'argent s'il en venait à bout. Le petit Puceau rapporta des nouvelles dès le soir même, et cette première course l'ayant fait connaître, il gagnait tout ce qu'il voulait ; car le Roi le payait parfaitement bien pour porter ses ordres à l'Armée, et une infinité de Dames lui donnaient tout ce qu'il voulait pour avoir des nouvelles de leurs Amants, et ce fut là son plus grand gain. Il se trouvait quelques femmes qui le chargeaient de lettres pour leurs maris, mais elles le payaient en nature avec de bonnes baises. Après avoir fait pendant quelque temps le métier de facteur, et y avoir beaucoup renversé de dames, il revint chez son père, où il n'est pas possible d'imaginer la joie qu'on eut de le revoir. Il mit toute sa famille à son aise. Il acheta des Offices de nouvelle création pour son père et pour ses frères ; et par là il les établit tous, et fit parfaitement bien sa cour en même temps.





mercredi 28 septembre 2016

If : Si dick était les bites de sept lieues

... le petit puceau aurait pris plaisir de les enfiler.

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Le petit puceau" 7/8)

L'Ogre, craignant que sa femme ne fût trop longtemps à faire la besogne dont il l'avait chargée, monta en haut pour l’aider. Il ne fut pas moins étonné que sa femme lorsqu'il vit cet affreux spectacle. Ah ! qu'ai-je fait? s'écria-t-il, ils me le payeront, les malheureux, et tout à l'heure. Il jeta aussitôt une potée d'eau dans le nez de sa femme et l'ayant fait revenir : Donne-moi vite mes bites de sept lieues, lui dit-il, afin que j'aille les attraper.



Il se mit en campagne, et après avoir couru bien loin de tous côtés, enfin il entra dans le chemin où marchaient les frèrez qui n'étaient plus qu'à cent pas du logis de leur père. Ils virent l'Ogre qui allait de montagne en montagne, et qui traversait des rivières aussi aisément qu'il aurait fait le moindre ruisseau. Le petit Puceau, qui vit un Rocher creux proche le lieu où ils étaient, y fit cacher ses six frères, et s'y fourra aussi, regardant toujours ce que l'Ogre deviendrait.

L'Ogre qui se trouvait fort las du long chemin qu'il avait fait inutilement (car les bites de sept lieues fatiguent fort leur homme), voulut se reposer, et par hasard il alla s'asseoir sur la roche où les petits mecs s'étaient cachés. Comme il n'en pouvait plus de fatigue, il s'endormit après s'être reposé quelque temps, et vint à ronfler si effroyablement que les pauvres enfants n'en eurent pas moins de peur que quand il tenait sa bite pour les enculés. Le petit Puceau en eut moins de peur, et dit à ses frères de s'enfuir promptement à la maison, pendant que l'Ogre dormait bien fort, et qu'ils ne se missent point en peine de lui. Ils crurent son conseil, et gagnèrent vite la maison. Le petit Puceau s'étant approché de l'Ogre, lui enleva doucement ses bites, et les mit aussitôt. Les bites étaient fort grandes et fort larges; mais comme elles étaient Fées, elles avaient le don de s'agrandir et de se rapetisser  selon celui qui les enfilait. Il alla droit à la maison de l'Ogre où il trouva sa femme qui pleurait auprès de ses filles enculées. votre mari, lui dit le petit Puceau, est en grand danger, car il a été pris par une troupe de voleurs qui ont juré de l’enculer s'il ne leur donne tout son or et tout son argent. Dans le moment qu'ils lui tenaient la bite auprès de son fion il m'a aperçu et m'a prié de vous venir avertir de l'état où il est, et de vous dire de me donner tout ce qu'il a vaillant sans en rien retenir, parce qu'autrement ils l’enculeront sans miséricorde. Comme la chose presse beaucoup, il a voulu que je prisse ses bites de sept lieues que voilà pour faire diligence, et aussi afin que vous ne croyiez pas que je sois un affronteur. La bonne femme fort effrayée lui donna aussitôt tout ce qu'elle avait car cet Ogre ne laissait pas d'être fort bon mari, quoiqu'il avait enculé ses filles.

Le petit Puceau étant donc chargé de toutes les richesses de l'Ogre s'en revint au logis de son père, où il fut reçu avec bien de la joie.








dimanche 25 septembre 2016

Phantasy : Sept culs offerts

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Le petit puceau" 6/8)


Il y avait dans la même Chambre un autre lit de la même grandeur, ce fut dans ce lit que la femme de l'Ogre mit coucher les sept jeunes hommes ; après quoi, elle s'empaler sur son mari. Le petit Puceau qui avait remarqué que les filles de l'Ogre avaient des Couronnes d'or sur la tête, et qui craignait qu'il ne prît à l'Ogre quelque remords de ne les avoir pas enculés dès le soir même, se leva vers le milieu de la nuit, et prenant les bonnets de ses frères et le sien, il alla tout doucement les mettre sur la tête des sept filles de l'Ogre, après leur avoir ôté leurs couronnes d'or qu'il mit sur la tête de ses frères et sur la sienne, afin que l'Ogre les prît pour ses filles, et ses filles pour les garçons qu'il voulait enculer. La chose réussit comme il l'avait pensé ; car l'Ogre s'étant éveillé sur le minuit eut regret d'avoir différé au lendemain ce qu'il pouvait exécuter la veille ; il se jeta donc brusquement hors du lit, sa grosse teub en érection, allons voir, dit-il, comment se portent nos petits drôles ; n'en faisons pas à deux fois. Il monta donc à tâtons à la Chambre de ses filles et s'approcha du lit où étaient les frères, qui dormaient tous, excepté le petit Puceau, qui eut bien peur lorsqu'il sentit la main de l'Ogre qui lui tâtait la tête, comme il avait tâté celles de tous ses frères. L'Ogre, qui sentit les Couronnes d'or vraiment, dit-il, j'allais faire là un bel ouvrage ; je vois bien que je bus trop hier au soir Il alla ensuite au lit de ses filles, où ayant senti les petits bonnets, ah ! les voilà, dit-il, nos gaillards !


Baisons hardiment. En disant ces mots, il encula dans de grands mouvements de balancier les culs de ses sept filles et il les éclata définitivement. Fort content de cette expédition, il alla se recoucher auprès de sa femme. Aussitôt que le petit Puceau entendit ronfler l'Ogre, il réveilla ses frères, et leur dit de s'habiller promptement et de le suivre. Ils descendirent doucement dans le Jardin, et sautèrent par-dessus les murailles. Ils coururent presque toute la nuit, toujours en tremblant et sans savoir où ils allaient. L'Ogre s'étant éveillé dit à sa femme, va-t'en là-haut préparer le fion de ces petits drôles d'hier soir ; l'Ogresse fut fort étonnée de la bonté de son mari, ne se doutant point de la manière qu'il entendait qu'elle les prépara, elle fut bien surprise lorsqu'elle aperçut ses sept filles le fion éclaté et complètement assommées par les coups de boutoir de l’ogre. Elle commença par s'évanouir (car c'est le premier expédient que trouvent presque toutes les femmes en pareilles situation).






dimanche 18 septembre 2016

Penis world : Une bite d'ogre

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Le petit puceau" 5/8)

Je ne sais à quoi il tient que je ne t’encule aussi ; bien t'en prend d'être une vieille bête. Voilà des puceaux qui me vient bien à propos pour partager avec trois Ogres de mes amis qui doivent me venir voir ces jours ici. Il les tira de dessous le lit l'un après l'autre, les pinnes encore raides. Ces pauvres garçon  se mirent à genoux en lui demandant pardon en lui flattant la queue ; mais ils avaient à faire au plus cruel de tous les Ogres, qui bien loin d'avoir de la pitié les dévorait déjà des yeux, et disait à sa femme que ce serait là de friands morceaux lorsqu'elle leur aurait fait faire une bonne douche. Il prit son manche à pleine main et en approchant de ces pauvres jeunes hommes, il tapotait de sa bite sur leurs fesses qu'il tenait de sa main gauche. Il en avait déjà empoigné un, lorsque sa femme lui dit : Que voulez-vous faire à l'heure qu'il est, vous avez déchargé sept fois en moi ? n'aurez-vous pas assez de temps demain matin ? Tais-toi, reprit l'Ogre..



Mais mon conin est encore tout mouillé, reprit sa femme ; voilà un petit clito tout gonflé, deux lèvres accueillantes pour toi mon  Cochon ! Tu as raison, dit l'Ogre ; donne-leur bien à souper, afin qu'ils ne maigrissent pas, et va les mener coucher. La bonne femme fut ravie de joie, et alla les coucher mais ils ne purent baiser tant ils étaient saisis de peur d’être empalés. Pour l'Ogre, il se remit à boire, ravi d'avoir de quoi si bien régaler ses Amis. Il but une douzaine de coups plus qu'à l'ordinaire, ce qui lui donna un peu dans la tête, et l'obligea de s'aller coucher. L'Ogre avait sept filles, qui n'étaient encore que pucelles bien que majeurs. Ces jeunes Ogresses avaient toutes le teint fort beau, mais elles avaient de petits yeux gris et tout ronds, le nez crochu et une fort grande bouche avec de longues dents fort aiguës et fort éloignées l'une de l'autre. Elles n'étaient pas encore fort méchantes ; mais elles promettaient beaucoup, car elles mordaient déjà les hommes avec l’envie de leur apper la bite. On les avait fait coucher de bonne heure, et elles étaient toutes sept nue dans un grand lit, ayant chacune une Couronne d'or sur la tête.





mercredi 14 septembre 2016

Position : Gang-bang aux sept queues

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Le petit puceau" 4/8)

Le petit Puceau grimpa au haut d'un Arbre pour voir s'il ne découvrait rien ; ayant tourné la tête de tous côtés, il vit une petite lueur comme d'une chandelle, mais qui était bien loin par-delà la Forêt. Il descendit de l'arbre ; et lorsqu'il fut à terre, il ne vit plus rien; cela le désola. Cependant, ayant marché quelque temps avec ses frères du côté qu'il avait vu la lumière, il la revit en sortant du Bois. Ils arrivèrent enfin à la maison où était cette chandelle, non sans bien des frayeurs, car souvent ils la perdaient de vue, ce qui leur arrivait toutes les fois qu'ils descendaient dans quelques fonds. Ils heurtèrent à la porte, et une femme vint leur ouvrir légèrement vêtue. Elle leur demanda ce qu'ils voulaient ; le petit Puceau lui dit qu'ils étaient de pauvres hommes qui s'étaient perdus dans la Forêt, et qui demandaient à coucher et à baiser par charité. Cette femme les voyant tous si jolis se mit à pleurer, et leur dit, hélas ! mes pauvres garçons, où êtes-vous venus ? Savez-vous bien que c'est ici la maison d'un Ogre qui enculent les gens ? Hélas ! Madame, lui répondit le petit Puceau, qui tremblait de toute sa force aussi bien que ses frères, que ferons-nous? Il est bien sûr que les Loups de la Forêt ne manqueront pas de nous manger cette nuit, si vous ne voulez pas nous retirer chez vous. Et cela étant, nous aimons mieux que ce soit Monsieur qui nous sodomise; peut-être qu'il aura pitié de nous, si vous voulez bien l'en prier. La femme de l'Ogre qui crut qu'elle pourrait les cacher à son mari jusqu'au lendemain matin, les laissa entrer et les mena se réchauffer avec elle. ; Des sept queue elle en branla deux avec ses mains , deux avec ses pieds, suça une , combla son trou du cul avec la plus grosse et laissa le petit puceau labourer frénétiquement sa mangue.


Comme ils la besognaient avec ardeurs, ils entendirent heurter trois ou quatre grands coups à la porte : c'était l'Ogre qui revenait. Aussitôt sa femme les fit cacher sous le lit et alla ouvrir la porte. L'Ogre demanda d'abord si elle était prête pour baiser, et si elle avait la chatte en feu, et aussitôt il se jeta sur aile. Sa moule était toute chaude, Il labourait fortement. Il fleurait à droite et à gauche, disant qu'il sentait une odeur d’homme. Il faut, lui dit sa femme, que ce soit ce parfum que je viens d'acheter que vous sentez. Je sens des effluves de jeunes queues en rûte, te dis-je encore une fois, reprit l'Ogre, en regardant sa femme de travers, et il y a ici quelque voyeur. En disant ces mots, il déconna, et alla droit au lit. Ah, dit-il, voilà donc comme tu veux me tromper, maudite femme !





dimanche 11 septembre 2016

Softcore : Le petit puceau semence le chemin

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Le petit puceau" 3/8)

Ils ne purent parler de cela si secrètement qu'ils ne fussent entendus par le petit Puceau, qui fit son compte de sortir d'affaire comme il avait déjà fait ; mais quoiqu'il se fût levé de bon matin pour aller prendre des préservatifs, il ne put en venir à bout, car ces frères en avaient beaucoup consommer . Il ne savait que faire. il songea qu'il pourrait se branler tout au long du chemin et semer son sperme..


Le Père et la Mère les menèrent dans l'endroit de la Forêt le plus épais et le plus obscur, et dès qu'ils y furent, ils gagnèrent un faux-fuyant et les laissèrent là. Le petit Puceau ne s'en chagrina pas beaucoup, parce qu'il croyait retrouver aisément son chemin par les gouttes de spermes semées de ci de la ; mais il fut bien surpris lorsqu'il ne put en retrouver une seule gouttes; des animaux étaient venus qui avaient tout léché. Les voilà donc bien affligés, car plus ils marchaient, plus ils s'égaraient et s'enfonçaient dans la Forêt. La nuit vint, et il s'éleva un grand vent, qui leur faisait des peurs épouvantables. Ils croyaient n'entendre de tous côtés que des hurlements de Loups qui venaient à eux pour les manger. Ils n'osaient presque se parler ni tourner la tête. Il survint une grosse pluie qui les perça jusqu'aux os ; ils glissaient à chaque pas et tombaient dans la boue, d'où ils se relevaient tout crottés, ne sachant que faire de leurs mains.





dimanche 4 septembre 2016

Comic : Surprise du bûcheron et de la bûcheronne

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Le petit puceau" 2/8)

Le petit Puceau les laissait crier, sachant bien par où il reviendrait à la maison; car en marchant il avait laissé tomber le long du chemin les préservatifs qu'il avait dans ses poches. Il leur dit donc, ne craignez point, mes frères ; mon Père et ma Mère nous ont laissés ici, mais je vous ramènerai bien chez eux, suivez-moi seulement. Ils le suivirent et il les mena jusqu'à leur maison par le même chemin qu'ils étaient venus dans la forêt. Ils n'osèrent d'abord entrer mais ils se mirent tous contre la porte pour écouter ce que disaient leur Père et leur Mère.



Dans le moment que le Bûcheron et la Bûcheronne arrivèrent chez eux, le Seigneur du Village leur envoya dix écus qu'il leur devait il y avait longtemps, et dont ils n'espéraient plus rien. Cela leur redonna la vigueur et les pauvres gens fêtèrent  cette mane dignement. Le Bûcheron déshabilla sur l'heure sa femme. Comme il y avait longtemps qu'elle n'avait pas baisé, elle fouta trois fois plus que d'habitude . Lorsqu'ils furent rassasiés, la Bûcheronne dit, hélas! où sont maintenant nos pauvres fils ? Mais aussi, Guillaume, c'est toi qui les as voulu perdre ; j'avais bien dit que nous nous en repentirions. Que font-ils maintenant dans cette Forêt ? Hélas ! mon Dieu, les Loups les ont peut-être mangés! Tu es bien inhumain d'avoir perdu ainsi tes enfants. Le Bûcheron s'impatienta à la fin, car elle redit plus de vingt fois qu'ils s'en repentiraient et qu'elle l'avait bien dit. Il fourra sa queue dans la bouche de sa femme pour qu’elle se taise. Le Bûcheron avait d’autres envies  que d’écouter les jérémiades de sa femme, c'est qu'elle lui pompait bien la tête, et qu'il était de l'humeur de beaucoup d'autres gens, qui aiment fort les femmes qui sucent bien. La bouche de la bûcheronne était très occupée, mais son cerveau pensait : Hélas! où sont maintenant mes fils chéris, mes pauvres fils? Elle le pensa une fois si fort que les branleurs qui étaient à la porte, l'ayant entendue, se mirent à crier tous ensemble : Nous voilà, nous voilà.

Elle courut vite, nue comme Eve, leur ouvrir la porte, et leur dit en les embrassant, que je suis chaude de vous revoir, mes chers fils ! vous êtes bien sevrez, et vous avez bien faim de sexe; et toi Pierrot, comme te voilà bandant, viens que je te masturbe. Ce Pierrot était son fils aîné qu'elle aimait plus que tous les autres, parce qu'il était un peu rousseau, et qu'elle était un peu rousse. Ils se mirent sur le sofa, et se bouffèrent les un les autres d'un appétit qui faisait plaisir au Père et à la Mère, à qui ils donnaient leur vit à branler et à sucer presque toujours tous ensemble. Ces bonnes gens étaient ravis de s’occuper de  leurs jeunes fils, et cette joie dura tant que les dix écus durèrent. Mais lorsque l'argent fut dépensé, ils retombèrent dans leur premier chagrin et résolurent de les perdre encore, et pour ne pas manquer leur coup, de les mener bien plus loin que la première fois.











jeudi 1 septembre 2016

Jerk-off : Circle jerk du petit puceau et ses frères

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Le petit puceau" 1/8)

Il était une fois un Bûcheron et une Bûcheronne qui avaient sept enfants tous Garçons. L'aîné n'avait que 20 ans, et le plus jeune n'en avait que 18. On s'étonnera que le Bûcheron ait eu tant d'enfants en si peu de temps; mais c'est que sa femme allait vite en besogne, et n'en faisait pas moins que trois à la fois. Ils étaient fort pauvres, et leurs sept enfants les incommodaient beaucoup, parce tous étaient de sacrés branleurs. Ce qui les chagrinait encore, c'est que le plus jeune était fort délicat et ne disait mot : prenant pour idiotie ce qui était une marque de la bonté de son esprit. Il avait un vit fort petit et qui n'était guère plus gros que le pouce, et comme il n’avait pas trouvé de filles à baiser, on l'appela le petit Puceau. Ce pauvre jeune homme était le souffre-douleur de la maison, et on lui donnait toujours le tort. Cependant il était le plus adroit à branler, et le plus juteur de tous ses frères, et s'il parlait peu, il observait  beaucoup les ébats de ses parents et ceux de ses frères avec les filles du village. Il vint une année très fâcheuse, et la famine fut si grande, que ces pauvres gens résolurent de se défaire de leurs garçons. Un soir que le jeunes étaient couchés, et que le Bûcheron baisait sa femme, il lui dit, le coeur serré de douleur :

Tu vois bien que nous ne pouvons plus nourrir ces branleurs ; je ne saurais les voir continuer à ne rien foutre de la journée, et je suis résolu de les mener perdre demain au bois, ce qui sera aisé, car tandis qu'ils s'amuseront à se pogner, nous n'avons qu'à nous enfuir sans qu'ils nous voient.


Ah ! s'écria la Bûcheronne, pourrais-tu bien toi-même mener perdre tes garçons ? Son mari avait beau lui représenter leur grande pauvreté, elle ne pouvait y consentir, elle était pauvre, mais elle était leur mère. Cependant ayant considéré qu’ils ne foutaient rien, elle y consentit, et alla se coucher en pleurant. Le petit Puceau avait profité du spectacle de leurs ébats et avait chopé tout ce qu'ils dirent, car ayant entendu de dedans son lit qu'ils soupiraient, il s'était levé doucement, et s'était glissé sous l'escabelle de son père pour les écouter sans être vu. Il alla se coucher et ne dormit point le reste de la nuit, songeant à ce qu'il avait à faire. Il se leva de bon matin, et emplit ses poches de préservatifs réservés par ses frères, et ensuite revint à la maison. On partit, et le petit Puceau ne dit rien de tout ce qu'il savait à ses frères. Ils allèrent dans une forêt fort épaisse, où à dix pas de distance on ne se voyait pas l'un l'autre.
Le Bûcheron se mit à couper du bois et ses fils s'installèrent dans une petite clairière pour se pogner en cercle . Le père et la mère, les voyant occupés avec leur teube , s'éloignèrent d'eux insensiblement, et puis s'enfuirent tout à coup par un petit sentier détourné. Lorsque les jeunes hommes se virent seuls, ils se mirent à paniquer sévère.