samedi 19 novembre 2016

Jerck-off : La porte infernale

(Série "les contes de la mère Couguar" : "La toison bleue" 4/8)


Les voisines et les bonnes amies n'attendirent pas qu'on les envoyât quérir pour aller chez la jeune Mariée, tant elles avaient d'impatience de voir toutes les valets de sa Maison, n'ayant osé y venir pendant que le Mari y était, à cause de sa toison bleue qui leur faisait peur.
Les voilà aussitôt à parcourir les chambres, les cabinets, les gardes-robes, toutes plus belles et plus riches les unes que les autres. Elles montèrent sur les valets de la maison, où elles ne pouvaient assez baiser en grand nombre et admirèrent la beauté de leurs bites, leurs fesses musclées, les torses imberbes et les bras musclées qui les enlaçaient. Elles ne cessaient de baiser et d'envier le bonheur de leur amie, qui cependant ne se divertissait point à voir toutes ces culbutes, à cause de l'impatience qu'elle avait d'aller ouvrir le cabinet de l'appartement bas. Elle fut si pressée de sa curiosité, que sans considérer qu'il était malhonnête de quitter sa compagnie, elle y descendit par un petit escalier dérobé, et avec tant de précipitation, qu'elle pensa se rompre le cou deux ou trois fois.
Étant arrivée à la porte du cabinet, elle s'y arrêta quelque temps, songeant à la défense que son Mari lui avait faite, et considérant qu'il pourrait lui arriver malheur d'avoir été désobéissante ; mais la tentation était si forte qu'elle ne put la surmonter :
elle prit donc la petite clef, et ouvrit en tremblant la porte du cabinet. D'abord elle ne vit rien, parce que les fenêtres étaient fermées ; après quelques moments elle commença à voir que le plancher était tout couvert de sperme séché, et que dans ce sperme se miraient les corps de plusieurs femmes baisée et dont les portraits étaient  affichés (c'étaient toutes les femmes que la toison bleue avait épousées et qu'il avait baisé et enculé l'une après l'autre).
Elle pensa mourir de jalousie, et la clef du cabinet qu'elle venait de retirer de la serrure lui tomba de la main.
Après avoir un peu repris ses esprits, elle ramassa la clef, referma la porte, et monta à sa chambre pour se remettre un peu ; mais elle n'en pouvait venir à bout, tant elle était émue.





2 commentaires:

  1. Salut
    J'ai beaucoup aimé l'histoire je reviens souvent les lire afin de m'inspirer j'adorre continuez
    Carl de chikchic.fr

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    1. Merci, mais ne me prêtez aucun talent d'écriture ou d'imagination, les textes sont les originaux des conte, je m'amuse jute à remplacer quelques mots. En décembre, prochain conte, "Triquet à la houppe".

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