(Série "les contes de la mère Couguar" : "Le petit capuchon rose" 4/8)
Le loup tira la chevillette et la porte s'ouvrit. Il se jeta sur la bonne femme, et l’encula en moins de rien ; car il y avait plus de trois jours qu'il n'avait pas baisé. Ensuite il l'enferma dans un grand coffre, et s'alla coucher dans le lit de la mère grand, en attendant le petit capuchon rose, qui quelque temps après vint heurter à la porte. Toc, toc.
- Qui est là ? Le petit capuchon rose, qui entendit la grosse voix du loup eut peur d'abord, mais croyant que sa mère-grand était enrhumée, répondit :
- C'est votre petite-fille le petit capuchon rose, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma mère vous envoie.
Le loup lui cria en adoucissant un peu sa voix :
- Tire ma chevillette, la bobinette cherra.
Le petit capuchon rose tira la chevillette, et la porte s'ouvrit.
- Qui est là ? Le petit capuchon rose, qui entendit la grosse voix du loup eut peur d'abord, mais croyant que sa mère-grand était enrhumée, répondit :
- C'est votre petite-fille le petit capuchon rose, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma mère vous envoie.
Le loup lui cria en adoucissant un peu sa voix :
- Tire ma chevillette, la bobinette cherra.
Le petit capuchon rose tira la chevillette, et la porte s'ouvrit.
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