mercredi 24 août 2016

Illustration : "Aux marches du Palais"

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Cucendron et le plug ouf de verre" 8/8)

Aux marches du palais (bis)

Y a une tant belle fille lon la
Y a une tant belle fille
Elle a tant d'amoureux (bis)
Qu'elle ne sait lequel prendre lon la
Qu'elle ne sait lequel prendre
C'est un p'tit cordonnier (bis)
Qu'a eu la préférence lon la
Qu'a eu la préférence
Et c'est en la chaussant (bis)
Qu'il fit sa confidence lon la
Qu'il fit sa confidence
La bell' si tu voulais (bis)
Nous dormirions ensemble lon la
Nous dormirions ensemble
Dans un grand lit carré (bis)
Parfumé de lavande lon la
Parfumé de lavande
Aux quatre coins du lit (bis)
Un bouquet de pervenches lon la
Un bouquet de pervenches
Dans le mitan du lit (bis)
La rivière est profonde lon la
La rivière est profonde
Tous les chevaux du roi (bis)
Pourraient y boire ensemble lon la
Pourraient y boire ensemble
La belle si tu voulais (bis)
Nous dormirions ensemble lon la
Nous dormirions ensemble
Et nous serions heureux (bis)
Jusqu'à la fin du monde lon la
Jusqu'à la fin du monde.







mardi 23 août 2016

Position : l'affaire de l'escalier

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Cucendron et le plug ouf de verre" 7/8)

Alors ses deux sœurs la reconnurent pour la plus chaude et belle personne qu'elles avaient vue au bal. Elles se jetèrent à ses pieds pour lui demander pardon de tous les mauvais traitements qu'elles lui avaient fait souffrir. Cucendron les fessa et leur dit, en les embrassant, qu'elle profiterait d’elles de bon cœur, et qu'elle les priait de la baiser toujours. On la mena chez le jeune prince, nue comme elle était. Il la trouva encore plus belle que jamais; et, peu après, il la pénétra par tous les trous. Cucendron, qui était aussi bonne que belle, fit loger sa bite dans ses deux sœurs, et les maqua, dès le jour même, à deux grands niqueurs de la cour.

MORALITÉ
La beauté, pour le sexe, est un rare trésor.
De la baiser jamais on ne se lasse ;
Mais ce qu'on nomme bon trou
Est sans prix, et vaut mieux encore.
C'est ce qu'à Cucendron fit savoir sa marraine,
En la dressant, en l'instruisant,
Tant et si bien qu'elle en fit une reine des baiseuses :
Belles, ce don vaut mieux que d'être bien riche :
Pour engager un cœur, pour en venir à bout,
Les bons coups de reins  sont les vrais dons des fées ;
Sans eux on ne peut rien, avec eux on peut tout.





lundi 22 août 2016

Surprise : Ass essaye le plug

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Cucendron et le plug ouf de verre" 6/8)

Elles dirent vrai ; car, peu de jours après, le fils du roi fit publier, au  son de sa trompe, qu'il épouserait celle dont le cul serait bien juste au plug. On commença à l'essayer aux princesses, ensuite aux duchesses et à toute la cour, mais inutilement. On l'apporta chez les deux soeurs, qui firent tout leur possible pour faire entrer le plug dans  leur fion mais elles ne purent en venir à bout. Cucendron, qui les regardait, et qui reconnut son plug, dit en riant :
« Que je voie si il ne me serait pas bon. »
Ses sœurs se mirent à rire et à se moquer d'elle. Le gentilhomme qui faisait enfilait le plug, ayant regardé attentivement Cucendron, et la trouvant fort belle, dit que cela était très juste, et qu'il avait ordre de l'essayer à toutes les filles. Il fit asseoir Cucendron les deux jambes en l’air, et approchant la plug de son petit trou du cul, il vit qu'il y entrait sans peine et juste ce qu’il fallait. L'étonnement des deux sœurs fut grand, mais plus grand encore quand Cucendron tira de sa poche l'autre plug de ouf qu'elle mit à dans son minou. Là-dessus arriva la marraine, qui ayant enfourné sa bite dans la bouche de  Cucendron, la fit devenir encore plus magnifique que toutes celles du royaume.





dimanche 21 août 2016

If : Dick était un escalier...

...il n'aurait pas laissé échapper Cucendron.

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Cucendron et le plug ouf de verre" 5/8)

Le lendemain, les deux sœurs retournèrent à la partouze, et Cucendron aussi, le prince continua de la baiser, et ne cessa de la piner en  douceurs. La jeune demoiselle ne s'ennuyait pas et oublia les recommandations de la fée; de sorte qu’au millième coup de pine, elle entendit sonner le premier coup de minuit, lorsqu'elle ne pensait qu’on était qu’au début des réjouissances: elle déconna la bite princière, et s'enfuit aussi rapidement qu'aurait fait une cougar. Le prince la suivit à poil, mais il ne put l'attraper. Elle laissa tomber un de ses plugs de ouf, que le prince ramassa bien soigneusement en le reniflant. Cucendron arriva chez elle, bien essoufflée, sans bagnole, sans valet, et toute nue ; rien ne lui étant resté de sa magnificence, qu'un de ses deux plugs. On demanda aux plantons du palais s'ils n'avaient point vu sortir une princesse ils dirent qu'ils n'avaient vu sortir personne qu'une jeune salope nue, et qui avait plus l'air d'une paysanne que d'une demoiselle.
Quand les deux sœurs revinrent du bal, Cucendron leur demanda si elles s'étaient encore bien éclatées, et si la belle dame y avait été ; elles lui dirent que oui, mais qu'elle s'était barrée, lorsque minuit avait sonné, et si promptement qu'elle avait laissé la pine du prince prête à exploser et un plug de ouf ; que le fils du roi l'avait ramassée, et qu'il n'avait fait que de le sentir et sucer pendant tout le reste de l’orgie, et qu'assurément il était fort amoureux de la belle personne à qui appartenait ce plug issu de son petit trou du cul.





jeudi 18 août 2016

Storyboard : scène du film "Russian Grandma Tales - Zalushka"

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Cucendron et le plug ouf de verre" 4/8)

Cucendron part, ne se sentant plus pisser. Le fils du roi, qu'on alla prévenir qu'il venait d'arriver un super canon qu'on ne connaissait point, courut la bite en main la recevoir. Il lui donna une petite claque sur les fesses à la descente de la voiture, et la mena dans la salle où étaient tous les partouzards. Il se fit alors un grand silence ; on cessa de remuer les reins, et les bites se dressèrent, tant on était attentif à contempler les grandes beautés de cette inconnue. On n'entendait qu'un murmure confus : « Ah ! qu'elle est belle! » Le roi même, tout vieux qu'il était, bandait, et les seins de la reine pointaient. Toutes les dames étaient attentives à considérer sa coupe et ses cambrure, pour en avoir, dès le lendemain, de semblables en investissant les clubs fitness.
Le fils du roi, lui ôta ses plugs la mit en place honorablement sur sa longue queue, et ensuite la prit pour la baiser. Elle baisa avec tant de grâce, qu'on l'admira encore davantage. On apporta à bouffer, mais le jeune prince ne mangea point, tant il était occupé à la féconder et baigner sa bite dans sa jolie source. Elle alla lécher ses sœurs et leur fit mille caresses ; elle leur entra dans leur fion les plugs que que sa marraine  lui avait donnés, ce qui les étonna fort, car elles ne connaissaient pas encore ce jeu là.
Lorsqu'elles gémissaient ainsi, Cucendron entendit sonner onze heures trois quarts ; elle se déventousa du prince, reprit ses plugs, et s'en alla le plus vite qu'elle put. Dès qu'elle fut arrivée, elle alla trouver sa marraine, et, après l'avoir remerciée, elle lui dit qu'elle souhaiterait bien aller encore le lendemain à l’orgie, parce que le fils du roi n’en avait pas fini de la baisé. Comme elle était occupée à raconter à sa marraine tout ce qui s'était passé au bal, les deux sœurs heurtèrent à la porte ; Cucendron leur alla ouvrir.
« Que vous êtes longtemps à revenir ! » leur dit-elle  à poil en bâillant, en se frottant les yeux, et en s'étendant comme si elle n'eût fait que de se réveiller.
Elle n'avait cependant pas eu envie de dormir, depuis qu'elles s'étaient quittées. « Si tu étais venue à la partouse, lui dit une de ses sœurs, tu ne t'y serais pas emmerdée  il est venu la plus belle salope, la plus dévergondée qu'on puisse jamais voir ; elle nous a fait mille préliminaires; elle nous a branlé avec des plugs de ouf. »
Cendrillon ne se sentait plus pisser : elle leur demanda le nom de cette branleuse; mais elles lui répondirent qu'on ne la connaissait pas, que le fils de pute du roi en était fort en peine, et qu'il donnerait ses couilles à toutes pour savoir qui elle était. Cucendron sourit et leur dit :
« Elle était donc bien belle ? Mon Dieu ! que vous êtes heureuses ! ne pourrais-je point la voir ? Hélas! mademoiselle Vajotte, prêtez-moi votre petite culotte rose que vous mettez tous les jours.
- Vraiment, dit mademoiselle Vajotte, je suis de cet avis ! Prêter une culotte  à un vilain Cucendron comme cela ! il faudrait que je fusse bien folle. »
Cucendron s'attendait bien à ce refus, et elle en fut bien aise, car elle aurait été grandement embarrassée, si sa sœur eût bien voulu lui prêter son habit.

samedi 13 août 2016

Disguise : De salamandre à page

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Cucendron et le plug ouf de verre" 3/8)

Enfin le jour arriva ; on partit, et Cucendron les suivit des yeux humides le plus longtemps qu'elle put. Lorsqu'elle ne les vit plus, elle se mit à pleurer  et à se masturber. Sa marraine, qui la vit tout en sueur, lui demanda ce qu'elle avait.
« Je voudrais bien ... je voudrais bien...
Elle haletait si fort qu'elle ne put achever. Sa marraine, qui était une fée transexuelle, lui dit :
- Tu voudrais bien aller à la partouze, n'est-ce pas ?
- Oh! oui, gémit Cucendron en soupirant.
- Eh bien ! seras-tu bonne salope ? dit sa marraine, je t'y ferai aller t’enfiler.
Elle la mena dans sa chambre, et lui dit :
- Va dans le jardin, et apporte-moi un  melon. »
Cucendron alla aussitôt cueillir le plus mûr qu'elle put trouver, et la porta à sa marraine, ne pouvant deviner comment ce melon la pourrait faire aller au bal. Sa marraine le creusa et le pénétra de sa baguette, et il fut aussitôt changée en belle berline.
Ensuite elle dit :
« Va dans le jardin, tu y trouveras une salamandre  derrière le cresson : apporte-la moi. » Elle ne l'eut pas plutôt apportée, que sa marraine le changea en page quise teint près de la portière de l’auto.
La fée dit alors à Cucendron :
« Eh bien! voilà, de quoi aller au bal : n'es-tu pas bien aise ?
- Oui, mais est-ce que j'irai comme cela en haillon ? »
Sa marraine ne fit que la toucher avec sa baguette, et en même temps ses loques furent changés en des habits d'or et d'argent, tout chamarrés de pierreries ; elle lui donna ensuite deux plug de verre, les plus jolis du monde qu’elle plaça un dans la chatte de la mignonne et l’autre dans son cul. Quand elle fut ainsi parée, elle monta en voiture. Mais sa marraine lui recommanda, sur toutes choses, de ne pas passer minuit, l'avertissant que, si elle demeurait à la partouze un moment davantage, sa berline redeviendrait melon, son page une salamandre, et que ses beaux habits reprendraient leur aspect pouilleux.
Elle promit à sa marraine qu'elle ne manquerait pas de sortir du bal avant minuit.




vendredi 12 août 2016

Cook and Tool : Brosse à cheveux

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Cucendron et le plug ouf de verre" 2/8)

Il arriva que le fils du roi organisa une partouze au château  et qu'il invita toutes les foufounes  de qualité. Nos deux demoiselles en furent aussi priées, car elles faisaient impression dans le royaume. Les voilà bien aises et bien occupées à préparer leur moule et leur cul . Nouvelle peine pour Cucendron, car c'était elle qui devait les mettre en conditions et qui exécutait bien des préliminaires. On ne parlait que de la manière dont on baiserai avec le prince.
« Moi, dit l'aînée, ce sera la brouette écossaise et je le terminerai en cravate de notaire
- Moi, dit la cadette, je commencerai par une levrette ordinaire mais ensuite je l’autoriserai à me sodomiser. »
On envoya chercher la bonne esthéticienne  pour épiler les parties intimes, et on prit les manches de brosse à cheveux pour travailler l’ouverture des orifices. Elles appelèrent Cucendron pour lui demander de l’aide car elle avait un bon poignet. Cucendron les branla au mieux du monde, et proposa même de lécher leur clito ; ce qu'elles voulurent bien.
Tout en étant branlée, elles lui disaient :
« Cucendron, aimerais tu participer à l’orgie ?
- Hélas, mesdemoiselles, vous vous moquez, de moi : ce n'est pas là ce qu'il me faut.
- Tu as raison, on rirait bien, si on voyait un Cucendron se faire baiser. »
Une autre que Cucendron les aurait branler de travers ; mais elle était bonne, et elle les prépara parfaitement bien. Elles furent près de deux jours sans manger, tant elles étaient transportées de joie. On brisa  plus de douze manches de brosse, à force de les enfoncer pour leur rendre le con et le cul plus accueillants, et elles étaient toujours devant le miroir.



lundi 1 août 2016

Celebrity : Cucendron

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Cucendron et le plug ouf de verre" 1/8)

Il était une fois un homme qui fit un second mariage avec une femme, plus pincée du cul et plus froide de l'huitre qu'on eût jamais vue. Elle avait deux exécrables filles de son caractère, et qui lui ressemblaient comme deux gouttes de mouille. Le mari avait, de son côté, une jeune fille avec une chatte d’une douceur et d'une générosité sans pareil : elle tenait cela de sa mère, qui était le meilleur coup au monde.

Les noces ne furent pas plus tôt passées que la nouvelle femme montra son vrai visage : elle ne piffait pas sa belle fille, ce qui rendait les siennes encore moins baisables. Elle la chargea des plus basses corvées : c'était elle qui nettoyait de sa langue les fions de la maisons , qui frottait le clito de madame  et ceux de mesdemoiselles ses filles ; elle couchait dans le grenier, sur le sol, pendant que ses demie-sœurs étaient dans des chambres avec moquette, où elles avaient des lits à matelas d’eau, et des miroirs pour voir tous leurs ébats. La pauvre fille souffrait tout avec patience et n'osait s'en plaindre à sa chiffe molle de père, qui l'aurait engueulé, parce que la belle mère portait la culotte. Lorsqu'elle avait suffisamment donné de son corps, elle  allait se mettre au coin de la cheminée, et s'asseoir cul nu dans les cendres, ce qui faisait qu'on la surnommait  Cucendron. Cependant habillée de loque, elle ne laissait pas d'être mille fois plus jolie que ses sœurs.