(Série "les contes de la mère Couguar" : "Cucendron et le plug ouf de verre" 5/8)
Le lendemain, les deux sœurs retournèrent à la partouze, et Cucendron aussi, le prince continua de la baiser, et ne cessa de la piner en douceurs. La jeune demoiselle ne s'ennuyait pas et oublia les recommandations de la fée; de sorte qu’au millième coup de pine, elle entendit sonner le premier coup de minuit, lorsqu'elle ne pensait qu’on était qu’au début des réjouissances: elle déconna la bite princière, et s'enfuit aussi rapidement qu'aurait fait une cougar. Le prince la suivit à poil, mais il ne put l'attraper. Elle laissa tomber un de ses plugs de ouf, que le prince ramassa bien soigneusement en le reniflant. Cucendron arriva chez elle, bien essoufflée, sans bagnole, sans valet, et toute nue ; rien ne lui étant resté de sa magnificence, qu'un de ses deux plugs. On demanda aux plantons du palais s'ils n'avaient point vu sortir une princesse ils dirent qu'ils n'avaient vu sortir personne qu'une jeune salope nue, et qui avait plus l'air d'une paysanne que d'une demoiselle.
Quand les deux sœurs revinrent du bal, Cucendron leur demanda si elles s'étaient encore bien éclatées, et si la belle dame y avait été ; elles lui dirent que oui, mais qu'elle s'était barrée, lorsque minuit avait sonné, et si promptement qu'elle avait laissé la pine du prince prête à exploser et un plug de ouf ; que le fils du roi l'avait ramassée, et qu'il n'avait fait que de le sentir et sucer pendant tout le reste de l’orgie, et qu'assurément il était fort amoureux de la belle personne à qui appartenait ce plug issu de son petit trou du cul.
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