(Série "les contes de la mère Couguar" : "Cucendron et le plug ouf de verre" 4/8)
Cucendron part, ne se sentant plus pisser. Le fils du roi, qu'on alla prévenir qu'il venait d'arriver un super canon qu'on ne connaissait point, courut la bite en main la recevoir. Il lui donna une petite claque sur les fesses à la descente de la voiture, et la mena dans la salle où étaient tous les partouzards. Il se fit alors un grand silence ; on cessa de remuer les reins, et les bites se dressèrent, tant on était attentif à contempler les grandes beautés de cette inconnue. On n'entendait qu'un murmure confus : « Ah ! qu'elle est belle! » Le roi même, tout vieux qu'il était, bandait, et les seins de la reine pointaient. Toutes les dames étaient attentives à considérer sa coupe et ses cambrure, pour en avoir, dès le lendemain, de semblables en investissant les clubs fitness.
Le fils du roi, lui ôta ses plugs la mit en place honorablement sur sa longue queue, et ensuite la prit pour la baiser. Elle baisa avec tant de grâce, qu'on l'admira encore davantage. On apporta à bouffer, mais le jeune prince ne mangea point, tant il était occupé à la féconder et baigner sa bite dans sa jolie source. Elle alla lécher ses sœurs et leur fit mille caresses ; elle leur entra dans leur fion les plugs que que sa marraine lui avait donnés, ce qui les étonna fort, car elles ne connaissaient pas encore ce jeu là.
Lorsqu'elles gémissaient ainsi, Cucendron entendit sonner onze heures trois quarts ; elle se déventousa du prince, reprit ses plugs, et s'en alla le plus vite qu'elle put. Dès qu'elle fut arrivée, elle alla trouver sa marraine, et, après l'avoir remerciée, elle lui dit qu'elle souhaiterait bien aller encore le lendemain à l’orgie, parce que le fils du roi n’en avait pas fini de la baisé. Comme elle était occupée à raconter à sa marraine tout ce qui s'était passé au bal, les deux sœurs heurtèrent à la porte ; Cucendron leur alla ouvrir.
« Que vous êtes longtemps à revenir ! » leur dit-elle à poil en bâillant, en se frottant les yeux, et en s'étendant comme si elle n'eût fait que de se réveiller.
Elle n'avait cependant pas eu envie de dormir, depuis qu'elles s'étaient quittées. « Si tu étais venue à la partouse, lui dit une de ses sœurs, tu ne t'y serais pas emmerdée il est venu la plus belle salope, la plus dévergondée qu'on puisse jamais voir ; elle nous a fait mille préliminaires; elle nous a branlé avec des plugs de ouf. »
Cendrillon ne se sentait plus pisser : elle leur demanda le nom de cette branleuse; mais elles lui répondirent qu'on ne la connaissait pas, que le fils de pute du roi en était fort en peine, et qu'il donnerait ses couilles à toutes pour savoir qui elle était. Cucendron sourit et leur dit :
« Elle était donc bien belle ? Mon Dieu ! que vous êtes heureuses ! ne pourrais-je point la voir ? Hélas! mademoiselle Vajotte, prêtez-moi votre petite culotte rose que vous mettez tous les jours.
- Vraiment, dit mademoiselle Vajotte, je suis de cet avis ! Prêter une culotte à un vilain Cucendron comme cela ! il faudrait que je fusse bien folle. »
Cucendron s'attendait bien à ce refus, et elle en fut bien aise, car elle aurait été grandement embarrassée, si sa sœur eût bien voulu lui prêter son habit.