vendredi 23 octobre 2015

Text : HebdO d'une vIe d'un vIt solO

Samedi 17 : Levé avec une bandaison molle, je me ressens de la décharge d'hier. C'est au petit déjeuner que j'ai eu l'occasion de me réveillé. Je sentais qu'au dessus de moi s'accomplissait des actes sensuels. Le polo d'Emile  fut remonté jusqu'aux pectoraux pour les dénuder. Une bouche, après avoir donné un baisé, vint téter les mamelons. Le dos fut caressé  de bas en haut, les corps se pressaient l'un et l'autre. Je redressai l'échine. Un dernier baisé français fut rendu. Emile se rassit pour boire son bol de café.
L'après midi, profitant de la maison vide, Emile mit une vidéo d'un triolisme, prépara ses affaires de dessin et commença à me branler dans l'espoir de me dessiner en érection. Je n'eu pas le temps de me durcir suffisamment et déjà la porte d'entrée s'ouvrit.

Dimanche 18 : Blotti au chaud sous la couette, je suis réveillé palpé par les mains d'Emile. De l'état de mollesse je passe à celui de la bandaison. Puis Emile se serre contre un corps et d'autres mains plus petites prennent le relais du va et vient à la base de mon tronc. Elles montent ensuite à ma tête pour le même mouvement et finissent ensuite par me caresser à travers le boxer que je porte la nuit. Emile se lève.
Cet après-midi, nous avons réussi à réaliser le dessin, intitulé Dick bien veiné, sans que je crache le jus. Pour me bander, nous avons visionné une vidéo amateur de trois allemands, la femme était prise en broche par les deux hommes. je luisais de sécrétions et de salive. Je dégageai une odeur de pâton au levain qui flattait les narines. Nous partimes dans la salle de bain pour nous voir dans la glace. Emile entretenait ma bandaison tout en dessinant. Il a voulu me prendre en photo sur son portable pour servir de modèle au dessin mais le cadrage et la netteté n'étaient pas bons.
Ce soir, j'ai eu le droit à une heure de masturbation,  à rester droit sans interruption, m'entrainant à me contracter pour ne pas laisser échapper la sauce. J'étais redevenu la bonne grosse queue gonflée à bloc, résistant au allez retour de mains fermes et intraitables.

Lundi 19 : J'ai fait ma nuit dans un boxer déchiré, le tissu se détachait petit à petit de l'élastique des deux cotés. Au petit matin, devant la glace de la salle de bain, Emile s'amusa à enlever les deux pattes du caleçon ce qui eu pour résultat une sorte de pagne. A la vue de son reflet aux apparences d'un primitif, Emile s'en amusa et je commençais à m'affermir.
Une soirée passé dans l'excitation et les phantasme, à peine bandée le sperme coulait, je fus branlé avec ce premier jus. J'eu un temps de répit pour calmer mes ardeurs. C'est à la deuxième série de caresse que je lâchais  un sperme plus épais et pressé de sortir.

Mardi 20 : Ce fut une journée plus calme. Emile a continué ses pensées coquines pour  occuper les longs trajets le menant au travail mais il m'a laissé au repos.

Mercredi 21 : Cette nuit je me suis tendu, Emile se réveilla avec une impression de lourdeur dans le bas du ventre. Je m'agitais et effleurais les draps.
Tous les mercredis, Emile prend le train pour se rendre au boulot. Etant en période scolaire, le wagon était silencieux et Emile profita pour laisser ses pensées libidineuses vagabondées. De la gare d'arrivée à son lieu de travail, il y a une heure de marche et il continua ses rêveries. Il s'imaginait avec un couple d'amis baisant madame. Dans une première figure, les deux hommes se relayant occupaient un la bouche, l'autre la chatte. Puis vint l'idée de la prendre des deux cotés, de ressentir a travers les parois vaginal l'autre pénis et d'inventer un rythme à trois. Mais là ou Emile s'échappa de la réalité par les songes, c'est quant il me vit introduit dans le vagin rejoint par l'autre bite qui glissait le long de mon corps. La pensée d'être en fusion avec les deux sexes me mit en  érection et le frottement du tissu du pantalon d'Émile dans les mouvements de marches l'entretenait. A deux pas du but de sa journée, Emile reprit ses esprits et je me rendormi.

Jeudi 22 : Cette nuit, je devins bélier prêt à défoncer l'huis d'une forteresse.

Vendredi 23 : Aujourd'hui, j'étais en forme, je me cabrais facilement. Heureusement car Emile a prévu une séance  photos de moi entre les pattes du nounours de son enfance qui a le même âge que nous. Nous avons du faire plusieurs prises. Emile, n'étant pas habitué  à cet exercice et sur le coup de l'excitation, a réalisé beaucoup de clichés flous et mal cadrés. J'essayais de me tenir le plus droit possible appréciant les chatouillis de la peluche du nounours. Mes boules, pour être apparentes, avaient été remontée et placée entre les deux membres inférieurs du nounours. Sur les 20 photos Emile en a choisi une pour la reproduire à l'aquarelle et vous faire partager le résultat.

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