( Série les systèmes du corps humain : le système tégumentaire - 8/8)
jeudi 31 décembre 2015
mardi 29 décembre 2015
lundi 28 décembre 2015
dimanche 27 décembre 2015
samedi 26 décembre 2015
Illustration : "Tango de la peau", composée et chantée par Arno
( Série les systèmes du corps humain : le système tégumentaire - 5/8)
J'ai vu les Roberts des Anglaises
Des maigres et des obèses
Mais j'préfère ceux des Françaises
J'ai vu elle avec elle
J'ai vu lui avec lui
Et tout ça prit en problèmes
Refrain:
C'est le tango de la peau, la peau c'est chaud.
C'est le tango de la peau, la peau c'est chaud.
J'ai vu des machos des rigolos
Ils doivent tous faire popo
Comme toi et Zorro
J'ai vu le zizizi à Jésus-Christ
Il est pas plus gros qu'une allumette
Il lui sert pour faire pipi
Refrain
J'ai vu une scène dans un monde
J'ai vu un monde dans une scène
J'ai connu la guerre dans un lit
Maman... Maman
Quand était-ce la dernière fois
Que tu à fait l'amour avec papa?
Refrain
C'est le tango, oh c'est le tango
C'est le tango de la peau
C'est le tango, oh c'est le tango
C'est le tango de la peau
C'est le tango, oh c'est le tango
La peau c'est chaud
J'ai vu lui avec lui
Et tout ça prit en problèmes
Refrain:
C'est le tango de la peau, la peau c'est chaud.
C'est le tango de la peau, la peau c'est chaud.
J'ai vu des machos des rigolos
Ils doivent tous faire popo
Comme toi et Zorro
J'ai vu le zizizi à Jésus-Christ
Il est pas plus gros qu'une allumette
Il lui sert pour faire pipi
Refrain
J'ai vu une scène dans un monde
J'ai vu un monde dans une scène
J'ai connu la guerre dans un lit
Maman... Maman
Quand était-ce la dernière fois
Que tu à fait l'amour avec papa?
Refrain
C'est le tango, oh c'est le tango
C'est le tango de la peau
C'est le tango, oh c'est le tango
C'est le tango de la peau
C'est le tango, oh c'est le tango
La peau c'est chaud
vendredi 25 décembre 2015
dimanche 20 décembre 2015
samedi 12 décembre 2015
Jerk-off : Jouer à la bourse avec l'esthéticienne
( Série les systèmes du corps humain : le système tégumentaire - 2/8)
vendredi 11 décembre 2015
Phantasy : Je sue sang et eau à la baiser
( Série les systèmes du corps humain : le système tégumentaire - 1/8)
vendredi 4 décembre 2015
Text : La vie d'un vit, épisode de la bande son.
"Emile Karl avait une bonne heure devant lui pour réaliser le dernier dessin de la série "système immunitaire". Au lieu d'un fond sonore musical, il choisit sur le blog "Chikchic" d'accompagner son travail d'une bande son d'une vidéo de la catégorie "France hétéro". Sa préférence alla sur celle d'une femme baisée en gang bang avec la participation de son mari comme voyeur puis comme acteur. Le réalisateur était très volubile, encourageait par la parole les participants et dialoguait avec, idéal donc comme feuilleton audio. J'étais supposé rester calme car le matin la douche avait été crapuleuse et j'avais craché ma liqueur. Penché sur sa table de travail, Emile avait du mal à se concentrer. Ce qu'il entendait, me gonflât et je sortis ma tête du capuchon, curieux de ce qui se passait sur l'écran. Emile y jetait de plus en plus un œil. La femme assez jolie s'occupait de cinq hommes d'une trentaine d'année, bien entretenus physiquement mais tous différents des un des autres, les bites de même. Au moment de la sodomie, réalisée à tour de rôle, j'étais en érection. Au bout d'un quart d'heure, Emile interrompu son travail, se ficha devant l'écran et me branla. Le cœur battait fort. Il se voyait comme le sixième homme invité à faire crier la partenaire et rougir ses fesses par quelques claques. Il baissa son froc pour que la transpiration ne le mouille pas, se rassit devant le bloc de feuilles et ressaisit le crayon. Pendant qu'il continuait le dessin, j'étais à l'air, caressé par la main gauche, recevant par fois un jet de salive. A la scène de la double pénétration, Emile s'arrêta de nouveau et décida de terminer le visionnage du film. Il entrecoupait sa branlette de pause pour m'éviter d'exploser. Mes boules étaient fermes. Mes veines ressortaient et ma tête palpitait. Les cris de l'enculée s'intensifiaient. Elle en demandait toujours plus. La cadence des coups de reins s'accélérait. J'admirai l'endurance du mari. Emile essaye de me donner cette même capacité mais je ne répond pas toujours à cette attente. La scène finale, classique mais réussie, montrait le couple en missionnaire et les quatre autres hommes autour du buste féminin crachant leur sauce. Emile et moi nous étions dans un grand état d'excitation, chaud, bouillonnant. Il alla nous admirer dans la glace de la salle de bain. Il éclata de rire de plaisir. J'étais dur comme du marbre, à ma taille maximale. Il remit son caleçon que je tendais comme une toile de tente et son futal. Après avoir fermer l'ordinateur, nous partîmes tous les deux nous calmer au sport. Le dessin est loin d'être fini."
samedi 28 novembre 2015
Illustration : le journal d'Alexina
( Série le système immunitaire : la visite médicale)
Extrait :
« Debout près de mon lit, le docteur me considérait avec une attention pleine d'intérêt. Des exclamations sourdes lui échappaient dans le genre de celle-ci : “Mon dieu ! serait-ce possible !” (…) Mes vêtements en désordre laissaient voir la partie supérieure de mon corps ! La main du docteur s'y promenait indécise, tremblante, jusqu'à l'abdomen, siège de mon mal. (…) Il s'assit alors près de moi, insistant doucement pour que je reprisse du courage ; il en avait sans doute besoin lui-même. La décomposition de son visage trahissait une agitation extraordinaire. “Je vous en prie, lui dis-je, laissez-moi. Vous me tuez ! –Mademoiselle, je ne vous demande qu'une minute, et ce sera fini.” Déjà sa main se glissait sous mon drap et s'arrêtait à l'endroit sensible. Elle s'y appuya à plusieurs reprises, comme pour y trouver la solution d'un problème difficile. Elle ne s'arrêta pas là !!! Il avait trouvé l'explication qu'il cherchait ! Mais il était facile de voir qu'elle dépassait toutes ses prévisions ! Le pauvre homme était sous le coup d'une émotion terrible ! Des phrases entrecoupées s'échappaient de sa gorge, comme s'il eût craint de les laisser passer. J'aurai voulu le voir à cent pieds sous terre !!! »
vendredi 27 novembre 2015
mercredi 25 novembre 2015
Text : Dick pongiste
"A ma base : mes deux petites couilles, grosses comme des balles de ping-pong. A trois heures du matin, lors d'une insomnie d'Emile, la main gauche les serrait l'une contre l'autre. J'étais alors droit comme un i. Emile les sentait bien gonflées, pleines. Le scrotum était épais. Le malaxage des deux orphelines me maintenait en érection. Les deux boules se frottaient l'une contre l'autre dans la chaleur de la paume. Ne voulant pas éjaculer, Emile relâcha la pression et essaya de retrouver le sommeil."
dimanche 22 novembre 2015
samedi 21 novembre 2015
dimanche 15 novembre 2015
samedi 14 novembre 2015
mercredi 11 novembre 2015
dimanche 8 novembre 2015
Site : Le blog de Sophya dessinatrice transgenre
Des goûts et des couleurs sur ce site de partage d'art et d'humour :
a retrouver dans la rubrique drawing.
samedi 7 novembre 2015
vendredi 6 novembre 2015
dimanche 1 novembre 2015
vendredi 30 octobre 2015
dimanche 25 octobre 2015
Celebrity : Attention à votre coeur, Mr Faure !
Heureusement pour nous ce ne sera pas dans cette scène là qu'il mourra, car il est mort d'une pipe.
( Série l'appareil cardio-vasculaire : infarctus)
vendredi 23 octobre 2015
Text : HebdO d'une vIe d'un vIt solO
Samedi 17 : Levé avec une bandaison molle, je me ressens de la décharge d'hier. C'est au petit déjeuner que j'ai eu l'occasion de me réveillé. Je sentais qu'au dessus de moi s'accomplissait des actes sensuels. Le polo d'Emile fut remonté jusqu'aux pectoraux pour les dénuder. Une bouche, après avoir donné un baisé, vint téter les mamelons. Le dos fut caressé de bas en haut, les corps se pressaient l'un et l'autre. Je redressai l'échine. Un dernier baisé français fut rendu. Emile se rassit pour boire son bol de café.
L'après midi, profitant de la maison vide, Emile mit une vidéo d'un triolisme, prépara ses affaires de dessin et commença à me branler dans l'espoir de me dessiner en érection. Je n'eu pas le temps de me durcir suffisamment et déjà la porte d'entrée s'ouvrit.
Dimanche 18 : Blotti au chaud sous la couette, je suis réveillé palpé par les mains d'Emile. De l'état de mollesse je passe à celui de la bandaison. Puis Emile se serre contre un corps et d'autres mains plus petites prennent le relais du va et vient à la base de mon tronc. Elles montent ensuite à ma tête pour le même mouvement et finissent ensuite par me caresser à travers le boxer que je porte la nuit. Emile se lève.
Cet après-midi, nous avons réussi à réaliser le dessin, intitulé Dick bien veiné, sans que je crache le jus. Pour me bander, nous avons visionné une vidéo amateur de trois allemands, la femme était prise en broche par les deux hommes. je luisais de sécrétions et de salive. Je dégageai une odeur de pâton au levain qui flattait les narines. Nous partimes dans la salle de bain pour nous voir dans la glace. Emile entretenait ma bandaison tout en dessinant. Il a voulu me prendre en photo sur son portable pour servir de modèle au dessin mais le cadrage et la netteté n'étaient pas bons.
Ce soir, j'ai eu le droit à une heure de masturbation, à rester droit sans interruption, m'entrainant à me contracter pour ne pas laisser échapper la sauce. J'étais redevenu la bonne grosse queue gonflée à bloc, résistant au allez retour de mains fermes et intraitables.
Lundi 19 : J'ai fait ma nuit dans un boxer déchiré, le tissu se détachait petit à petit de l'élastique des deux cotés. Au petit matin, devant la glace de la salle de bain, Emile s'amusa à enlever les deux pattes du caleçon ce qui eu pour résultat une sorte de pagne. A la vue de son reflet aux apparences d'un primitif, Emile s'en amusa et je commençais à m'affermir.
Une soirée passé dans l'excitation et les phantasme, à peine bandée le sperme coulait, je fus branlé avec ce premier jus. J'eu un temps de répit pour calmer mes ardeurs. C'est à la deuxième série de caresse que je lâchais un sperme plus épais et pressé de sortir.
Mardi 20 : Ce fut une journée plus calme. Emile a continué ses pensées coquines pour occuper les longs trajets le menant au travail mais il m'a laissé au repos.
Mercredi 21 : Cette nuit je me suis tendu, Emile se réveilla avec une impression de lourdeur dans le bas du ventre. Je m'agitais et effleurais les draps.
Tous les mercredis, Emile prend le train pour se rendre au boulot. Etant en période scolaire, le wagon était silencieux et Emile profita pour laisser ses pensées libidineuses vagabondées. De la gare d'arrivée à son lieu de travail, il y a une heure de marche et il continua ses rêveries. Il s'imaginait avec un couple d'amis baisant madame. Dans une première figure, les deux hommes se relayant occupaient un la bouche, l'autre la chatte. Puis vint l'idée de la prendre des deux cotés, de ressentir a travers les parois vaginal l'autre pénis et d'inventer un rythme à trois. Mais là ou Emile s'échappa de la réalité par les songes, c'est quant il me vit introduit dans le vagin rejoint par l'autre bite qui glissait le long de mon corps. La pensée d'être en fusion avec les deux sexes me mit en érection et le frottement du tissu du pantalon d'Émile dans les mouvements de marches l'entretenait. A deux pas du but de sa journée, Emile reprit ses esprits et je me rendormi.
Jeudi 22 : Cette nuit, je devins bélier prêt à défoncer l'huis d'une forteresse.
Vendredi 23 : Aujourd'hui, j'étais en forme, je me cabrais facilement. Heureusement car Emile a prévu une séance photos de moi entre les pattes du nounours de son enfance qui a le même âge que nous. Nous avons du faire plusieurs prises. Emile, n'étant pas habitué à cet exercice et sur le coup de l'excitation, a réalisé beaucoup de clichés flous et mal cadrés. J'essayais de me tenir le plus droit possible appréciant les chatouillis de la peluche du nounours. Mes boules, pour être apparentes, avaient été remontée et placée entre les deux membres inférieurs du nounours. Sur les 20 photos Emile en a choisi une pour la reproduire à l'aquarelle et vous faire partager le résultat.
Une soirée passé dans l'excitation et les phantasme, à peine bandée le sperme coulait, je fus branlé avec ce premier jus. J'eu un temps de répit pour calmer mes ardeurs. C'est à la deuxième série de caresse que je lâchais un sperme plus épais et pressé de sortir.
Mardi 20 : Ce fut une journée plus calme. Emile a continué ses pensées coquines pour occuper les longs trajets le menant au travail mais il m'a laissé au repos.
Mercredi 21 : Cette nuit je me suis tendu, Emile se réveilla avec une impression de lourdeur dans le bas du ventre. Je m'agitais et effleurais les draps.
Tous les mercredis, Emile prend le train pour se rendre au boulot. Etant en période scolaire, le wagon était silencieux et Emile profita pour laisser ses pensées libidineuses vagabondées. De la gare d'arrivée à son lieu de travail, il y a une heure de marche et il continua ses rêveries. Il s'imaginait avec un couple d'amis baisant madame. Dans une première figure, les deux hommes se relayant occupaient un la bouche, l'autre la chatte. Puis vint l'idée de la prendre des deux cotés, de ressentir a travers les parois vaginal l'autre pénis et d'inventer un rythme à trois. Mais là ou Emile s'échappa de la réalité par les songes, c'est quant il me vit introduit dans le vagin rejoint par l'autre bite qui glissait le long de mon corps. La pensée d'être en fusion avec les deux sexes me mit en érection et le frottement du tissu du pantalon d'Émile dans les mouvements de marches l'entretenait. A deux pas du but de sa journée, Emile reprit ses esprits et je me rendormi.
Jeudi 22 : Cette nuit, je devins bélier prêt à défoncer l'huis d'une forteresse.
Vendredi 23 : Aujourd'hui, j'étais en forme, je me cabrais facilement. Heureusement car Emile a prévu une séance photos de moi entre les pattes du nounours de son enfance qui a le même âge que nous. Nous avons du faire plusieurs prises. Emile, n'étant pas habitué à cet exercice et sur le coup de l'excitation, a réalisé beaucoup de clichés flous et mal cadrés. J'essayais de me tenir le plus droit possible appréciant les chatouillis de la peluche du nounours. Mes boules, pour être apparentes, avaient été remontée et placée entre les deux membres inférieurs du nounours. Sur les 20 photos Emile en a choisi une pour la reproduire à l'aquarelle et vous faire partager le résultat.
jeudi 22 octobre 2015
dimanche 18 octobre 2015
samedi 17 octobre 2015
vendredi 16 octobre 2015
Text : Journal d'une bite au repos (fin)
Quelle rigolade cette idée de repos et de journal !
Déjà cette nuit encore je me raidis. Emile, réveillé, me manipule un peu et se rendort. Levée et sous la douche, je reprends forme facilement, branlée par Emile ravie de ma fermeté car c'est aujourd'hui qu'il a décidé de me dessiner en érection. Au bout d'un quart d'heure, il m'essuie et m'habille.
L'heure venue pour poser en phallus triomphant, Emile nous aide avec une vidéo de gros plan d'une sodomie. Pendant la demie heure du film, je résiste et le gratifie sur mon gland de quelques perles de lubrifiant. Droite comme un i, je suis prête et Emile prépare ses crayons de couleurs. Mais il met une deuxième vidéo et continue à me frictionner. Je le surprend à ne plus tenir, il essaye de me contracter, je lui crache dessus de bonnes larmes de spermes. A quoi servent ses entrainements des muscles pelviens et ses résolutions ?
Je met ainsi fin à mon journal d'une bite au repos, Emile est averti. Mais mon prépuce me dit qu'il y aura d'autres récits et peut être celui d'un autre jeun.
Déjà cette nuit encore je me raidis. Emile, réveillé, me manipule un peu et se rendort. Levée et sous la douche, je reprends forme facilement, branlée par Emile ravie de ma fermeté car c'est aujourd'hui qu'il a décidé de me dessiner en érection. Au bout d'un quart d'heure, il m'essuie et m'habille.
L'heure venue pour poser en phallus triomphant, Emile nous aide avec une vidéo de gros plan d'une sodomie. Pendant la demie heure du film, je résiste et le gratifie sur mon gland de quelques perles de lubrifiant. Droite comme un i, je suis prête et Emile prépare ses crayons de couleurs. Mais il met une deuxième vidéo et continue à me frictionner. Je le surprend à ne plus tenir, il essaye de me contracter, je lui crache dessus de bonnes larmes de spermes. A quoi servent ses entrainements des muscles pelviens et ses résolutions ?
Je met ainsi fin à mon journal d'une bite au repos, Emile est averti. Mais mon prépuce me dit qu'il y aura d'autres récits et peut être celui d'un autre jeun.
News : Nouveau lien : "Paul Photographe amateur de nu masculin" dans la catégorie "Penis World"
Un témoignage intéressant sur le travail délicat et sensible d'un photographe amateur.
jeudi 15 octobre 2015
Text : Journal d'une bite au repos (3ème jour)
En pleine nuit je suis réveillée par la pression qu'exerce une main sur mon corps au travers du boxer dans lequel je dors. Je gonfle en ressentant les frottements du tissu sur ma peau. Emile est réveillé. Ses doigts glissent sur le sous-vêtement et j'en frémis. J'aime le contact du coton, effleurée du prépuce aux couilles et je durcie. Emile enlève la capuche de ma tête et caresse de la même façon mon frein et la peau soyeuse de mon gland. Ce moment dure jusqu'à ce que le sommeil nous reprenne.
Ce matin, Emile se réveille fatigué, il a eu beaucoup d'insomnies et pas aussi douces que la première. le soir, sur le chemin du retour à son domicile, Emile repense à ce doux moment et je lui fais plaisir en réagissant.
A l'ordinateur il regarde rapidement quelques extraits d'un gang bang gay et je bande pour y participer. Mais le moment est furtif et Emile retourne à d'autres activités.
Peut être, avant le coucher, aurai-je le droit de danser entre ses jambes ? J'attends demain avec impatience car il me rendra raide pour servir de modèle à l'un de ses dessins.
mercredi 14 octobre 2015
Text : journal d'une bite au repos (2ème jour)
Je me réveille la tête pointant vers le nombril, instant qui me rappelle ma jeunesse. En forme dans la salle de bain, j'effectue une série de contractions. Emile roule entre ses doigts ses tétons, je termine la gymnastique par une érection convenable. Sous la douche je garde la forme entretenue par des mains savonneuses ; je suis séchée par un serviette que je trouve aujourd'hui particulièrement chaude et moelleuse. Ce deuxième jour commence avec douceur mais Emile ne semble pas particulièrement réveillé. Je passe le restant de la journée oubliée dans le fond du pantalon.
mardi 13 octobre 2015
Text : journal d'une bite au repos (de nouveau 1er jour)
Hier, je n'ai pas résisté aux sollicitations de la main et du sperme à coulé le long de mon flanc. Voyant l'échec de cette première journée d'abstinence, ayant perdu toutes illusions, Emile remet le couvert au lit comme un forcené.
Le lendemain, il est plus calme. Moi je suis irritée, non seulement du faux pas de la veille, mais aussi sur le coté gauche rougi par les frottements intensifs.
Ce soir, j'ai le sentiment que j'ai vécu le premier jour d'une période de repos. Rechargée en sperme, je suis toujours plus sensible aux moindre stimuli. Emile aime aussi me sentir dans cet état, encore doit-il me donner l'occasion de reprendre des forces !
Ps : en supplément cliquer ici pour voir la vidéo qui l'a surexcité et accompagné sa masturbation.
lundi 12 octobre 2015
Text : Journal d'une bite au repos (1er jour)
5 h 30, ,pendant la préparation du café, j'ai le droit a quelques caresses de mes couilles, remontée par quatre doigts en râteau . Ensuite dans la salle de bain, je me voie dans le miroir détendue. Me sentant en forme, je fais soixante dix répétitions de contractions pelviennes, ce qui me met en état de semi-érection. Puis comme tous les matin, je suis massée à l'huile d'amande douce et passe ensuite sous la douche. Ma tenue d'aujourd'hui sera un boxer bleu nuit. Me voilà blottie au chaud à dormir pendant les 7 h de boulot.
Cependant, durant les trajets, Emile repense à la manière dont il va interrompre mon "jeun". Au minimum par une branlette de ses propres mains ou une amie. Toutes les variantes se présentent à lui, entre deux seins, entre deux globes fessiers, entre les pieds, les mollets, les cuisse, sous les aisselles, contre une chatte, contre une bitte, dans les interstices d'un couple en rut. Tous ses rêves me gonfle, et quant je gonfle c'est que je suis ravie.
Arrivé à la maison, Emile se sent excité, peut être par l'écriture de la page de ce journal ou la bd qu'il doit dessiner ce soir. Me voilà certainement partie pour quelques caresses avant de dormir. J'espère ne pas cracher dès le premier jour.
dimanche 11 octobre 2015
Text : Journal d'une bite au repos (0)
Aujourd'hui, au réveil, j'ai déchargé, sans grande excitation, branlée par des mains amies. Les compteurs de mes couilles sont remis à zéro. Je vais en profiter pour commencer ce journal qui vous décrira, jours après jours, ma retape jusqu'à la prochaine éjaculation. Mon possesseur s'appelle Emile et nous avons tous les deux cinquante ans.
jeudi 8 octobre 2015
lundi 5 octobre 2015
Illustration : "Les quatre ages du coeur" ou "le plaisir des Dieux", chanson paillarde
J'en compte cinq !
( Série l'appareil cardio-vasculaire : le vieillissement du coeur)
1. Du dieu Vulcain, quand l'épouse friponne
Va boxonner loin de son vieux sournois,Le noir époux, que l'amour aiguillonne,
Tranquillement se polit le chinois.
Va-t'en, dit-il à sa fichue femelle,
Je me fous bien de ton con chassieux;
De mes cinq doigts, je fais une pucelle, Masturbons-nous, c'est le plaisir des dieux. | } | (bis) |
2. Bah! Laissons-lui ce plaisir ridicule,
Chacun, d'ailleurs, s'amuse à sa façon:
Moi, je préfèr' la manière d'Hercule,
Jamais sa main ne lui servit de con.
Le plus sal' trou, la plus vieille fendasse,
Rien n'échappait à son vit glorieux,
Chacun, d'ailleurs, s'amuse à sa façon:
Moi, je préfèr' la manière d'Hercule,
Jamais sa main ne lui servit de con.
Le plus sal' trou, la plus vieille fendasse,
Rien n'échappait à son vit glorieux,
Nous serons fiers de marcher sur ses traces Baisons, baisons, c'est le plaisir des dieux. | } | (bis) |
3. Du dieu Bacchus quand, accablé d'ivresse,
Le vit mollit et sur le con s'endort,
Soixante neuf et le vit se redresse;
Soixante neuf ferait bander un mort,
O clitoris, ton parfum de fromage
Fait regimber nos engins glorieux
Le vit mollit et sur le con s'endort,
Soixante neuf et le vit se redresse;
Soixante neuf ferait bander un mort,
O clitoris, ton parfum de fromage
Fait regimber nos engins glorieux
A ta vertu, nous rendons tous hommage: Gamahuchons, c'est le plaisir des dieux. | } | (bis) |
4. Pour Jupiter, façon vraiment divine,
Le con lui pue, il aime le goudron;
D'un moule à merde, il fait un moule à pine
Et bat le beurre au milieu de l'étron,
Cette façon est cruellement bonne
Pour terminer un gueuleton joyeux:
Le con lui pue, il aime le goudron;
D'un moule à merde, il fait un moule à pine
Et bat le beurre au milieu de l'étron,
Cette façon est cruellement bonne
Pour terminer un gueuleton joyeux:
Après l' dessert, on s'encule en couronne, Enculons-nous, c'est le plaisir des dieux. | } | (bis) |
5. Quand à Pluton, le dieu à large panse,
Le moindre effort lui semble fatigant;
Aussi, veut-il, sans craindre la dépense,
Faire sucer son pénis arrogant,
Et nous, rêvant aux extases passées,
Tout languissants, réjouissons nos yeux
Le moindre effort lui semble fatigant;
Aussi, veut-il, sans craindre la dépense,
Faire sucer son pénis arrogant,
Et nous, rêvant aux extases passées,
Tout languissants, réjouissons nos yeux
En laissant faire une amante empressée, Laissons sucer, c'est le plaisir des dieux. | } | (bis) |
6. Au reste, amis, qu'on en fasse à sa tête,
Main, con, cul, bouche, au plaisir tout est bon,
Sur quelqu'autel qu'on célèbre la fête,
Toujours là-haut, on est sûr du pardon.
Foutre et jou-ir, voilà l'unique affaire,
Foutre et jou-ir: voilà quels sont nos voeux,
Main, con, cul, bouche, au plaisir tout est bon,
Sur quelqu'autel qu'on célèbre la fête,
Toujours là-haut, on est sûr du pardon.
Foutre et jou-ir, voilà l'unique affaire,
Foutre et jou-ir: voilà quels sont nos voeux,
Foutons, amis, qu'importe la manière, Foutons, foutons, c'est le plaisir des dieux. | } | (bis) |
dimanche 4 octobre 2015
samedi 3 octobre 2015
Illustration : "Le zizi", chanson de Pierre Perret
( Série l'appareil reproducteur : l'appareil génital masculin)
Afin de nous ôter nos complexes
Ô gué, ô gué
On nous donne des cours sur le sexe
Ô gué, ô gué
On apprend la vie secrète
Des angoissés d' la bébête
Ou de ceux qui trouvent dégourdi
De montrer leur bigoudi
Une institutrice très sympathique
Nous en explique toute la mécanique
Elle dit nous allons planter le décor
Ô gué, ô gué
De l'appareil masculin d'abord
Ô gué, ô gué
Elle s'approche du tableau noir
On va p'têt' enfin savoir
Quel est ce monstre sacré qui a donc tant de pouvoir
Et sans hésiter elle nous dessine
Le p'tit chose et les deux orphelines Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi
Le vrai, le faux
Le laid, le beau
Le dur, le mou
Qui a un grand cou
Le gros touffu
Le p'tit joufflu
Le grand ridé
Le mont pelé
Tout tout tout tout
Je vous dirai tout sur le zizi
Des zizis y'en a d'toutes les couleurs
Ô gué, ô gué
Des boulangers jusqu'aux ramoneurs
Ô gué, ô gué
J'en ai vu des impusilfs
Qui grimpaient dans les calcifs
J'en ai vu de moins voraces
Tomber dans les godasses
Çui d'un mécanicien en détresse
Qui a jamais pu réunir ses pièces
Y'a le zizi tout propre du blanchisseur
Ô gué, ô gué
Celui qui amidonne la main de ma sœur
Ô gué, ô gué
J'ai vu le zizi d'un curé
Avec son p'tit chapeau violet
Qui juste en pleine ascension
Fait la génuflexion
Un lever de zizi au crépuscule
Et celui du pape qui fait des bulles
refrain
Le zizi musclé chez le routier
Ô gué, ô gué
Se reconnaît à son gros col roulé
Ô gué, ô gué
J'ai vu le zizi affolant
D'un trapéziste ambulant
Qui apprenait la barre fixe à ses petits-enfants
L'alpiniste et son beau pic à glace
Magnifique au-dessus des Grandes Jorasses
J'ai vu le grand zizi d'un p'tit bedeau
Ô gué, ô gué
Qui sonne l'angélus les mains dans le dos
Ô gué, ô gué
Celui d'un marin breton
Qui avait perdu ses pompons
Et celui d'un juif cossu
Qui mesurait le tissu
Celui d'un infirmier d'ambulance
Qui clignotait dans les cas d'urgence
refrain
J'ai vu le p'tit zizi des aristos
Ô gué, ô gué
Qui est toujours au bord de l'embargo
Ô gué, ô gué
J'ai roulé de la pâtisserie
Avec celui de mon mari
Avec celui d'un Chinois
J'ai même cassé des noix
Avec un zizi aux mœurs incertaines
J'ai même fait des ris de veau à l'ancienne
refrain
Ô gué, ô gué
On nous donne des cours sur le sexe
Ô gué, ô gué
On apprend la vie secrète
Des angoissés d' la bébête
Ou de ceux qui trouvent dégourdi
De montrer leur bigoudi
Une institutrice très sympathique
Nous en explique toute la mécanique
Elle dit nous allons planter le décor
Ô gué, ô gué
De l'appareil masculin d'abord
Ô gué, ô gué
Elle s'approche du tableau noir
On va p'têt' enfin savoir
Quel est ce monstre sacré qui a donc tant de pouvoir
Et sans hésiter elle nous dessine
Le p'tit chose et les deux orphelines Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi
Le vrai, le faux
Le laid, le beau
Le dur, le mou
Qui a un grand cou
Le gros touffu
Le p'tit joufflu
Le grand ridé
Le mont pelé
Tout tout tout tout
Je vous dirai tout sur le zizi
Des zizis y'en a d'toutes les couleurs
Ô gué, ô gué
Des boulangers jusqu'aux ramoneurs
Ô gué, ô gué
J'en ai vu des impusilfs
Qui grimpaient dans les calcifs
J'en ai vu de moins voraces
Tomber dans les godasses
Çui d'un mécanicien en détresse
Qui a jamais pu réunir ses pièces
Y'a le zizi tout propre du blanchisseur
Ô gué, ô gué
Celui qui amidonne la main de ma sœur
Ô gué, ô gué
J'ai vu le zizi d'un curé
Avec son p'tit chapeau violet
Qui juste en pleine ascension
Fait la génuflexion
Un lever de zizi au crépuscule
Et celui du pape qui fait des bulles
refrain
Le zizi musclé chez le routier
Ô gué, ô gué
Se reconnaît à son gros col roulé
Ô gué, ô gué
J'ai vu le zizi affolant
D'un trapéziste ambulant
Qui apprenait la barre fixe à ses petits-enfants
L'alpiniste et son beau pic à glace
Magnifique au-dessus des Grandes Jorasses
J'ai vu le grand zizi d'un p'tit bedeau
Ô gué, ô gué
Qui sonne l'angélus les mains dans le dos
Ô gué, ô gué
Celui d'un marin breton
Qui avait perdu ses pompons
Et celui d'un juif cossu
Qui mesurait le tissu
Celui d'un infirmier d'ambulance
Qui clignotait dans les cas d'urgence
refrain
J'ai vu le p'tit zizi des aristos
Ô gué, ô gué
Qui est toujours au bord de l'embargo
Ô gué, ô gué
J'ai roulé de la pâtisserie
Avec celui de mon mari
Avec celui d'un Chinois
J'ai même cassé des noix
Avec un zizi aux mœurs incertaines
J'ai même fait des ris de veau à l'ancienne
refrain
samedi 26 septembre 2015
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